La désignation de Romuald Wadagni comme candidat de la mouvance présidentielle à la présidentielle de 2026 continue de susciter des commentaires.
Pour Tchanati Augustin, étudiant, ce choix s'impose naturellement. Il voit en Wadagni un homme formé aux côtés du président Talon, avec une solide expérience en gestion des finances publiques. « C'est d'abord un atout », souligne-t-il.
Mais s'il salue les réalisations du régime actuel, il insiste sur les chantiers encore ouverts. L'emploi des jeunes, les routes dans les communes, notamment dans le nord du Bénin, ainsi que l'amélioration des conditions de vie des enseignants, figurent parmi ses priorités. « Le candidat Wadagni doit œuvrer à la continuité. Il ne doit pas décevoir les Béninois », prévient-il.
Sossisti, lui, retient surtout un aspect : la jeunesse du candidat. « Un jeune a été désigné par la mouvance. C'est bon ! Il a la vigueur qu'il faut pour faire le job », lance-t-il. Pour lui, l'expérience ministérielle de Wadagni suffit à rassurer. Il parle d'un « candidat de la continuité », un mot qui revient souvent chez ceux qui ont suivi le parcours de l'ancien ministre de l'Économie et des Finances.
Mais tout le monde n'est pas encore décidé. Dans la rue, certains préfèrent attendre. « Nous avons vu Wadagni à l'œuvre. Nous attendons juste que l'opposition désigne aussi son candidat. Ensuite, on comparera », confie un citoyen.
Même ton du côté de Clément, commerçant nigérien installé au Bénin : « La mouvance a désigné Wadagni. J'attends que l'opposition désigne son candidat ».
Du côté de la classe politique, le choix de Romuald Wadagni est aussi salué. Labiou Amadou Djibril, député et premier questeur de l'Assemblée nationale, parle d'un tournant. Pour lui, miser sur un jeune leader reconnu sur la scène internationale est un message clair : le Bénin veut construire son avenir avec une nouvelle génération. « Ce choix crée un séisme dans le paysage politique national », affirme-t-il. Il estime que l'opposition, notamment le parti Les Démocrates, est désormais sous pression, car privée d'un projet solide pour séduire la jeunesse. À ses yeux, ce choix marque un basculement : « L'expertise rencontre l'engagement, et la compétence prime sur les calculs politiciens ».
Si beaucoup saluent le profil du candidat Romuald Wadagni, les attentes sont élevées. Le peuple, lui, se montre exigeant.
M. M.
Depuis l'annonce de la candidature de Romuald Wadagni à la présidentielle de 2026, le candidat reçoit de part et d'autres des soutiens. Ce mercredi 3 septembre 2025, Wilfried Léandre Houngbédji, porte-parole du gouvernement béninois, a salué l'élan national autour du candidat, évoquant un large soutien, y compris au sein de l'opposition. Pour lui, cette dynamique pourrait ouvrir la voie à une union inédite, dépassant les clivages partisans, et offrir au Bénin une nouvelle occasion "d'étonner le monde".
Les propos de Wilfried Houngbédji interrogé sur une probable rencontre du président Patrice Talon avec l'ancien chef de l'Etat Thomas Boni Yayi au sujet de la candidature de Romuald Wadagni.
"Je voudrais constater avec vous que Monsieur Romuald Wadagni depuis sa désignation dès le lendemain est apparu comme étant le candidat non plus seulement de la mouvance présidentielle, mais d'une large opinion nationale y compris des gens qui traditionnellement ne soutiennent pas ou n'applaudissent pas les actions du gouvernement.
J'ai noté des personnalités éminentes comme le président Nicéphore Soglo, le président Batoko qui ont adoubé cette candidature ainsi que le patriarche Urbain Da Silva.
J'ai noté également des voix traditionnellement hostiles au gouvernement sur les réseaux sociaux parce que appartenant à l'opposition qui ont dit leur adhésion à cette candidature et leur disponibilité à travailler demain avec les équipes autour afin de faire gagner non seulement le candidat mais surtout le Bénin. Nous ne sommes pas de ceux qui diraient que en face il n'y a rien. Je pense et c'est l'opinion du gouvernement, qu'il y a probablement de bons profils dans l'opposition mais, nous avons également la certitude qu'il sera difficile à cette opposition de trouver un profil meilleur à celui de notre candidat et donc relativement à cela si l'opposition demeure dans son ensemble ; d'ailleurs, vous avez également enregistré l'adhésion et le soutien franc du député notre grand frère Léon Basile Ahossi aussi membre éminent du parti "Les Démocrates". Si demain à sa suite, d'autres acteurs de l'opposition, le président Boni Yayi lui-même parce que convaincu de la qualité du candidat de la mouvance présidentielle décide de rallier, ce serait tout bénef pour le pays dans son ensemble et mieux qu'une promesse ce sera désormais davantage de certitude de victoire mais surtout d'amplification des résultats de la gouvernance parce que quand nous réussirons à faire l'économie des querelles politiciennes qui parfois n'ont pour autre objectif que de retarder la mise en oeuvre de l'action, si nous réussissons à faire ça, à faire l'économie de ces querelles et que toutes les forces politiques du moment quelle que soit leur obédience disent ah non franchement les forces qui soutiennent le pouvoir, le président Talon, ils ont réussi à trouver un candidat multi compatible qui fédère les aspirations de tous les camps, nous nous mettrons ensemble pour le faire élire, je pense que le Bénin donnerait encore une très belle leçon au monde entier et comme aurait dit le président Zinsou, nous étonnerons le monde. Donc, cela n'est pas exclu, nous n'y travaillons pas particulièrement mais si demain ça advient, je pense que tout le pays en serait ravi."
La Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) a entamé, mardi 2 septembre, la délivrance officielle des formulaires de parrainage dans le cadre de l'élection présidentielle 2026. Une étape indispensable pour tout candidat à la magistrature suprême.
Au deuxième jour de la délivrance des formulaires de parrainage, 74 élus ont déjà retiré le précieux sésame. L'annonce a été faite, ce mercredi 03 septembre 2025, par François Abiola, membre du Conseil électoral.
Sur les 186 parrains attendus, soit 109 députés et 77 maires, 53 députés et 21 maires se sont présentés au siège de la Céna. « Conformément à la législation en vigueur, nous attendons 186 élus qui doivent, dans le délai imparti, retirer ces formulaires », a précisé François Abiola.
Les élus concernés ont jusqu'au 12 septembre à 18h pour effectuer cette démarche. La Céna assure avoir mis en place toutes les dispositions nécessaires pour garantir le bon déroulement de cette étape cruciale du processus électoral.
L'institution électorale donne rendez-vous le 12 septembre pour faire le point définitif sur le nombre total de formulaires délivrés.
Les 28 députés du parti d'opposition Les Démocrates ont retiré leur formulaire de parrainage respectif, mardi 02 septembre.
Le document va permettre à chaque élu (maire et député) d'accorder son soutien institutionnel au duo candidat président et vice-président à l'élection présidentielle de 2026.
M. M.
La Direction générale des Impôts (DGI) annonce que sa plateforme de demande de quitus fiscal en ligne sera bientôt disponible. L'information a été rendue publique dans un communiqué signé par le Directeur général.
Selon la DGI, des travaux techniques sont actuellement en cours pour renforcer son système informatique. Ils visent à faciliter l'accès à la plateforme, prévenir les bugs et éviter tout ralentissement dans le traitement des demandes.
« Des travaux confortatifs ont été engagés (...) en vue de faciliter l'accès à la plateforme, de prévenir d'éventuels dysfonctionnements et de remédier aux difficultés et perturbations », indique Nicolas Yènoussi, le Directeur Général des Impôts.
« Je vous rassure donc des diligences en cours pour garantir l'ouverture prochaine de la plateforme et sa disponibilité dès la finalisation des travaux », a précisé le DGI.
La DGI invite les usagers à se rapprocher de son centre d'appels en composant le numéro 133, pour toute information complémentaire.
Cette initiative intervient dans le cadre des élections générales de 2026. Le quitus fiscal est un document indispensable pour les candidats et certains usagers.
M. M.
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Ce mercredi 3 septembre 2025, Lokossa, la ville de l'espérance, s'est transformée en un haut lieu de célébration politique.
La population de Lokossa s'est rassemblée massivement, ce mercredi 3 septembre 2025, pour exprimer sa reconnaissance envers le Chef de l'État, suite à la désignation de Romuald Wadagni comme candidat de la mouvance présidentielle pour 2026.
Dès les premières heures du matin, le stade de la ville de l'espérance a commencé à se remplir. Chants, danses, drapeaux et ovations rythmaient l'ambiance. Des familles entières ont fait le déplacement, habillées aux couleurs nationales, prêtes à vivre un moment fort.
Pour de nombreux habitants, cette journée représente plus qu'un événement politique. Elle incarne une reconnaissance partagée pour les actions du Président Talon et une adhésion au profil de Romuald Wadagni, perçu comme une figure de compétence, de jeunesse et de continuité.
« Ce choix inspire confiance. C'est un signe fort que l'avenir est entre de bonnes mains », témoigne un participant rencontré sur place.
M. M.
Le gouvernement a adopté, ce mercredi 3 septembre 2025, le Plan national de développement sanitaire pour la période 2026-2030.
Un nouveau Plan national de développement sanitaire adopté au Bénin. Il s'agit selon le gouvernement, d'un document de référence pour l'ensemble des acteurs du secteur de la Santé, en lien avec l'atteinte des objectifs de la Politique nationale de Santé sur la période 2018-2030. Sa finalité est de favoriser l'amélioration de l'état de santé et le bien-être des populations et s'inscrit dans les perspectives des Objectifs de Développement durable (ODD). Le contenu dudit plan tient compte des faiblesses de la précédente édition conformément à l'évaluation qui en a été faite et intègre les nouveaux défis du secteur.
D'un coût estimatif de 996.391.637.000 FCFA, sa mise en œuvre permettra, entre autres, de renforcer la gouvernance du secteur de la Santé, d'améliorer les prestations de service et la qualité des soins, dans un environnement où la disponibilité des produits de santé ainsi que des infrastructures et des équipements traduisent les avancées notables du secteur.
La commune de Parakou, à travers sa première autorité, a annoncé son soutien à la candidature de Romuald Wadagni pour la présidentielle de 2026.
Membre du Bloc Républicain, le maire de Parakou, Inoussa Zimé Chabi, a annoncé au candidat désigné par la mouvance à la présidentielle de 2026.
L'édile voit dans le choix de Romuald Wadagni une continuité.
Selon lui, l'alliance entre le Bloc Républicain et l'Union Progressiste le Renouveau s'inscrit dans la logique des réformes engagées par Patrice Talon. « Là où certains promettaient, il a agi ».
Le maire a salué la rigueur et la transparence de Wadagni. Il a rappelé son rôle dans la crédibilité internationale du Bénin. Inoussa Zimé Chabi a mis en avant les réalisations concrètes du président Talon à Parakou et dans tout le Bénin. Routes, énergie, climat des affaires : les acquis sont visibles, a-t-il insisté.
Un appel à l'unité autour de Parakou
« Là où certains promettaient, il a agi », a déclaré le maire.
Dans sa déclaration, le maire a appelé les forces vives de Parakou à se rassembler. Il invite la région septentrionale à s'unir derrière Wadagni. Pour lui, il s'agit d'un choix d'évidence et non d'un pari.
La désignation du ministre Romuald Wadagni comme candidat à la présidentielle de 2026 continue de susciter des soutiens.
À Bopa, dans le département du Mono, les jeunes et plusieurs acteurs ont annoncé ce 3 septembre 2025, leur soutien dans les circonscriptions, communes et villages au candidat Romuald Wadagni.
Le professeur Kakpo Mahougnon salue l'élan d'unité qui se forme autour du ministre. Pour lui, cette candidature fédère les énergies et ouvre « la grande porte de l'unité » dans la commune.
Ensemble nous pouvons, affirme le professeur Kakpo, convaincu que la mobilisation autour de Romuald Wadagni dépasse le cadre local pour toucher toute la 18e circonscription, le Mono-Couffo et, plus largement le territoire national.
Selon lui, l'échéance de 2026 doit être celle de la victoire et de l'unité nationale.
M. M.
La Cour constitutionnelle annonce le recrutement de délégués pour l'observation des différentes phases des élections législatives du 11 janvier 2026. Les dossiers de candidatures doivent être envoyés sur la plateforme erecrutement.courconstitutionnelle.bj du 15 septembre au 14 octobre 2025. Lire les pièces à fournir.
During the first years of Taliban rule in Afghanistan, brave Afghan women in Kabul and several other provinces rose up in protest. Credit: Learning Together.
By External Source
KABUL, Sep 3 2025 (IPS)
This year marks the fourth anniversary of the Taliban retaking power in Afghanistan. All these years have been one long nightmare for the women of Afghanistan, the ones who have borne the brunt of oppression – arguably the worst of its kind anywhere in the world.
To mark the occasion we find it appropriate to take a short trip in history back into the last four years to recollect how it all unfolded and how Afghan women have endured it this far.
On August 15, 2021, Kabul, the capital of Afghanistan fell to the Taliban. The event marked the end of the Islamic Republic of Afghanistan, led by Mohammad Ashraf Ghani, and the return of the “Islamic Emirate of Afghanistan” under Taliban rule. This political change started a new chapter of suffering, systemic bans, and harsh restrictions reserved mainly for women and girls.
Within a very short time, the Taliban introduced strict rules affecting education, work, public life, and even travel. Girls were banned from school; women were ejected from government work and the public sector; they were compelled to wear full covering and not allowed to travel without a male guardian.
The year 2021 was painful, suffocating, and deeply traumatizing for Afghan women and girls. In late August 2021, schools remained open up to grade 12 only in a few provinces of Balkh, Kunduz, Jawzjan, Sar-e Pol, Faryab, and Daikund – where local officials ignored the Taliban leadership’s orders. In most other provinces, girls were stopped from going to school.
A “Temporary” Suspension That Still Stands
The Taliban’s Ministry of Education officially announced that only primary schools – up to grade 6 – would stay open for girls. Secondary and high schools were, however, suspended “until further notice”. They would only reopen if “Islamic rules were followed, such as wearing the proper religious clothing.” Four years on, the so-called temporary suspension in still place.
In September 2021, the Taliban shut down the Ministry of women’s Affairs and handed over its building to the Ministry for the Promotion of Virtue and Prevention of Vice. Thus, a ministry notorious for its harsh and oppressive treatment of women and girls, was preferred to the one meant to raise awareness, promote gender equality and support women’s participation in national development.
By December 2021, the Taliban moved to make a black full-body covering that shows only the eyes or a burqa, mandatory for women. At universities, female and male classes were completely separated.
Women Protest—Despite Crackdowns
But Afghan women did not take these oppressive rules on the chin. On the contrary, they took to the streets of Kabul and protested vigorously, with slogans such as, “Work, education, freedom, and political participation are our rights.”
The Taliban predictably responded with brutal force, including even firing live rounds into crowds to break up the protests, but the women remained undeterred. The protests inspired similar actions in other provinces such as Herat, Balkh, Badakhshan, Daikundi, Bamyan, and Nangarhar.
Amidst the protests and brutalities, the women still held onto hope. “Brighter days will come”, they used to say, but in 2022, the Taliban escalated the bans on women’s social life, once again, beginning with education. That year, Afghan girls were officially banned from entering universities and barred from registering for the national university entrance exams.
Media restrictions and mandatory dress codes, which started in November 2021, intensified in 2022. The sight of women was banished from television and cinema screens, and female journalists were compelled to cover their entire faces. In May 2022, wearing the full-body abaya with a niqab became mandatory. Failure to comply was punished by fines, job loss, and even imprisonment.
In April 2022, restrictions began with new rules assigning specific days for women to visit public parks. By November of the same year, women were entirely forbidden to visit public parks, gyms, and bathhouses. Severe travel restrictions were also placed on women. They were forbidden to travel more than 72 kilometres without a male guardian. This rule was enforced regardless of whether the woman had a husband at home or not, or whether the guardian was able to accompany her. Transportation companies and airlines were ordered to enforce this rule, violators would have their vehicles seized or imprisoned.
Eventually, women were pushed out of government jobs altogether. The largest wave of dismissals happened in September 2022. By December, women’s participation in NGOs, international organizations, and UN offices was completely banned. This also affected thousands of women, many of them nurses and midwives working in the health sector, severely jeopardizing an already creaky health services of people in a war-torn country.
As the years progressed, the banning decrees kept flying out like snowflakes, with increasing violence. In Logar, Kabul, Herat, Faryab, Jawzjan, and Ghor provinces, public floggings, stoning and executions were carried out against women accused of moral crimes.
In spite of that, brave Afghan women in Kabul and several other provinces rose up in protest. They chanted slogans like “Bread, Work, Education It’s Our Right,” “We Will Not Back Down”.
Undeterred by serious threats and dangers, these courageous women raised their voices louder than ever before. They showed unprecedented resilience against oppression, hoping their protests would become a symbol of civil resistance for Afghan women everywhere.
We spent the last three years like the living dead, silent, breathless, merely surviving hoping each day that the next decree would not bring more loss. As we stepped into 2025, we carried with us a fragile hope that the injustice, oppression, and inequality would end. But this year, too, has mirrored the years before.
The voices of young girls have been replaced by locked doors, forced silence, and tired, defeated gazes.
The very women who are meant to save lives in the future are now imprisoned behind the walls of their own homes. Beauty salons have been shut down as if femininity itself were a crime. Learning centers are silent, universities are forgotten and even dreams once bold and vibrant have been exorcised from the mind.
The year 2025 continues to mark a series of systematic and oppressive steps by the Taliban aimed at gradually erasing women from public life. Afghan women remain trapped under oppression, yet with an unbreakable spirit, we hold onto hope for a day when freedom, education, and justice will return to our land.
A Call to the International Community
This hope, however, would only become reality when the international community and the European Union listen to the demands of Afghan women and respond with tangible and effective actions.
We are not just asking for sympathy or words of condemnation, we are calling for real action. We are standing firm and we will not surrender. Now it is the turn of the international community to stand with us.
Excerpt:
The author is an Afghanistan-based female journalist, trained with Finnish support before the Taliban take-over. Her identity is withheld for security reasons