Sa Majesté le Roi Mohammed VI décrète le 31 octobre "Fête de l'Unité". Cette décision fait suite à la résolution historique adoptée par le Conseil de securité de l'ONU sur le Sahara marocain.
La nouvelle de l'institution de la "Fête de l'Unité" a été annoncée mardi à travers un communiqué du Cabinet royal.
"Eu égard au tournant historique qu'a connu le processus de la Cause Nationale et ayant à l'esprit les développements décisifs apportés par la résolution 2797/2025 du Conseil de sécurité, qui a fait l'objet du récent Discours adressé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, que Dieu L'assiste et Le glorifie, à Son peuple fidèle, il a été décidé de décréter la journée du 31 octobre de chaque année une fête nationale et une occasion lors de laquelle Sa Majesté le Roi accorde Sa grâce. Sa Majesté le Roi, que Dieu Le préserve, a bien voulu donner à cette fête nationale le nom de "Aid Al Wahda" (Fête de l'Unité), avec tout ce qu'elle implique en termes de significations et de références à l'unité nationale et à l'intégrité territoriale inébranlable du Royaume. Cette fête constituera une occasion nationale fédératrice pour l'expression de l'attachement aux sacralités nationales du Royaume et à ses droits légitimes.Il a été aussi décidé que le Discours Royal sera prononcé à l'avenir en deux occasions officielles : la première à travers le Discours de la glorieuse fête du Trône et la seconde à l'occasion de l'ouverture du Parlement. Ce faisant, Sa Majesté le Roi, en tant qu'Amir Al-Mouminine et Chef de l'Etat, Se réserve la décision et l'appréciation de S'adresser à Son peuple fidèle à tout moment et à toute occasion que Sa Majesté le Roi, que Dieu Le préserve, juge opportuns. Il sera également procédé au maintien des festivités programmées pour la célébration du cinquantenaire de la glorieuse Marche Verte, sans que le Souverain n'adresse un Discours à la Nation à cette occasion"., précise le communiqué du Cabinet royal.
L' "Aid Al Wahda" que vient de décréter Sa Majesté le Roi Mohammed VI est la première fête nationale instituée depuis celle de la récupération d'Oued Eddahab en 1979. Elle marque ainsi la première célébration nationale proclamée par le Souverain depuis Son avènement. L'officialisation du Nouvel An amazigh venait reconnaître une tradition festive pluriséculaire profondément ancrée dans l'identité marocaine.
Aujourd'hui, la décision de Sa Majesté de célébrer « l'Unité » le 31 octobre, à la lumière du nouveau tournant dans la question du Sahara, vient consacrer la notion d'un « Maroc indivisible ». Indivisible dans son territoire comme dans la communauté de destin de sa Nation.
Un Royaume riche de ses différences, mais uni et indivisible : diversité des affluents religieux, pluralité des cultures, variété des milieux sociaux. Autant de singularités qui, loin de diviser, nourrissent la force de la nation marocaine.
Cette résolution historique du Conseil de sécurité sur le Sahara marocain montre le soutien de la communauté internationale à une cause juste que défend le Royaume du Maroc sous la Vision éclairée de SM. Le Roi Mohammed VI.
Le président Patrice Talon a lancé un appel aux démissionnaires du parti d'opposition Les Démocrates.
Avertissement et main tendue du président Patrice Talons aux démissionnaires du parti Les Démocrates. Selon le chef de l'Etat, quitter un parti n'autorise pas à renoncer à l'action publique. « Si leur idéal ne veut pas prospérer dans le groupe politique actuel et qu'ils sortent de ce groupe-là, il ne faut pas que leur idéal meure », a déclaré le président dans un entretien diffusé ce mardi 4 novembre 2025.
« Le meilleur moyen de promouvoir les idéaux politiques, c'est peut-être par la politique » a ajouté le président Patrice Talon. Le chef de l'État se dit prêt à les écouter. « Je vais voir le président Djogbénou (de l' UP-R, Ndlr), Bio Tchané (du BR, Ndlr), je vais leur dire qu'il faut aller parler avec ceux qui n'ont pas trouvé leur bonheur », annonce le chef de l'Etat.
Patrice Talon a exhorté les autres membres des Démocrates à infléchir la ligne du parti. « Influencez le président Boni Yayi, influencez les responsables du parti pour qu'ils ouvrent des discussions », demande le Chef de l'Etat. Patrice Talon lie cette invitation à un objectif national.
Pour lui, la polarisation nuit à l'intérêt général. « On ne peut pas construire le pays quand on a l'impression qu'il y a une partie du pays contre une autre », a indiqué le chef de l'Etat.
Le 28 octobre dernier, six députés membres du principal parti d'opposition Les Démocrates ont annoncé leur démission.
M. M.
Face à la Nation Béninoise dans la soirée de ce mardi 04 novembre 2025, le chef de l'Etat Patrice Talon a évoqué les deux ‘'phénomènes'' ayant conduit à la scission du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE), et à la création du parti Les Démocrates (LD).
Le refus d'adhérer aux réformes politiques et le refus de toute collaboration avec le régime de la Rupture et du Nouveau Départ à son avènement en 2016 au Bénin, auraient conduit à la scission du parti Forces cauris pour un Bénin émergent (FCBE), puis à la création du parti Les Démocrates. Le chef de l'Etat Patrice Talon l'a fait savoir dans la soirée de ce mardi 04 novembre 2025, lors d'une émission spéciale sur Bénin TV. Il a déploré au cours de l'entretien, la dynamique électorale actuellement en cours dans le pays ; laquelle ne l'enchante pas du tout et porte préjudice à l'image du pays. Toutefois, il n'y a pas lieu selon lui, d'indexer la réforme du système partisan, encore moins le code électoral. Les malheurs que connait le parti Les Démocrates en cette période électorale d'après lui, sont la conséquence des actions de son prédécesseur, Boni Yayi, engagé « avec beaucoup d'énergie » à faire échec à tout ce qu'il entreprend comme réforme. « Avant 2016, tout le monde priait pour une réforme du système partisan. Nous l'avons engagée, et j'en suis fier. Elle consistait à encourager, voire contraindre les partis politiques au regroupement. Les FCBE qui étaient à l'entame de la réforme le parti le plus grand de la centaine de petits partis que comptait le Bénin avait l'opportunité d'absorber un grand nombre de ces petits partis et de devenir un grand parti d'envergure nationale, pour peu qu'elle en ait la volonté. Mais comme c'est une réforme engagée par Patrice Talon, pas question. Pas question que cette réforme prospère, même si FCBE devait en profiter », a rappelé le chef de l'Etat. Il en a été de même de l'appel à entrer en partenariat avec ce parti, et à accueillir ses cadres dans la gouvernance politique et technique du pays. Cet appel déplore Patrice Talon, a été également refusé à tous ceux qui ont montré leur disponibilité à collaborer.
Nonobstant cette opposition radicale du parti, la volonté de son régime à associer toutes les compétences et bonnes volontés, quel que soit leur bord politique, s'est manifestée « très tôt » dès la formation du premier gouvernement. Il a cité à titre indicatif, l'entrée au sein de l'équipe gouvernementale de Jean-Claude Houssou, membre du staff de campagne de Lionel Zinsou, son challenger au second tour de la présidentielle de 2016. « Beaucoup d'autres, en raison de leurs compétences techniques ou de leur leadership politique, ont été appelés pour servir le pays aux côtés de Patrice Talon élu comme président de tous les Béninois et non comme président d'une partie des Béninois », a laissé entendre le chef de l'Etat. « Mais par contre, certains restés fidèles à la ligne du parti et de son chef, sont manifestement entrés en quasi rébellion contre le nouveau régime et ceux qui ont choisi de servir le pays à mes côtés, ont été […] purement et simplement bannis », a-t-il ajouté. Deux phénomènes qui, à en croire le chef de l'Etat, ont conduit pratiquement à la scission des FCBE, puis à la création du parti les démocrates. Le président de la République a exprimé au cours de l'émission, son ambition de voir tous les enfants du Bénin travailler ensemble pour construire le pays malgré les divergences de points de vue.
F. A. A.
Dans un entretien diffusé ce mardi 4 novembre 2025, sur la télévision nationale, le président Patrice Talon, est longuement revenu sur les événements politiques qui ont marqué les élections législatives de 2019. Pour la première fois, le chef de l'État a clairement désigné son prédécesseur, Boni Yayi, comme principal responsable de la crise électorale qui avait plongé le pays dans la tension.
« Depuis 2016, mon prédécesseur le président Boni Yayi s'emploie avec beaucoup d'énergie à faire échec à toutes les réformes », a confié le président Patrice Talon. L'une des plus importantes, la réforme du système partisan, visant à mettre fin à la prolifération des petits partis politiques et à encourager leur regroupement pour créer de véritables formations d'envergure nationale.
« Avant 2016, tout le monde priait pour une réforme du système partisan. Nous l'avons engagée, et j'en suis fier », a affirmé le président Talon, regrettant que les Forces Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE), alors principal parti de l'opposition, ait refusé d'y adhérer par pure hostilité politique.
Le chef de l'État a rappelé avoir tendu la main à plusieurs cadres des FCBE pour les associer à la gouvernance nationale, une démarche rejetée, selon lui, par Boni Yayi. « Tous ceux qui ont estimé le contraire et ont montré leur disponibilité à collaborer, ont été bannis », a-t-il déploré. Pour le président du Bénin, le refus d'adhérer aux réformes politiques et le refus de toute collaboration avec le nouveau régime ont conduit pratiquement à la scission du parti Forces Cauris pour un Bénin Émergent puis à la création du parti ‘'Les Démocrates''.
Le consensus politique de 2019 saboté
Patrice Talon a détaillé les coulisses de la crise électorale de 2019, qui avait conduit à la tenue d'élections législatives sans participation de l'opposition. D'après lui, un consensus avait été trouvé entre les différentes forces politiques sur les textes encadrant la réforme du système partisan. « Ce consensus a été consigné dans un document le 18 mars 2019 », a-t-il rappelé. Mais, poursuit-il, « le président Boni Yayi a refusé que ce consensus soit adopté.
Pour Patrice Talon, ce refus a provoqué la rupture du dialogue et conduit à la crise électorale de 2019. « Tout ce qui s'est passé en 2019, c'est le président Yayi Boni qui en a été le seul responsable. Il a empêché la tenue normale des élections (…) que des textes consensuels soient mis en œuvre pour une élection apaisée. J'ai été vu comme celui qui est à l'origine des violences électorales que nous avons connues. J'ai assumé. Mais ce qui se passe et qui continue ne peut pas me permettre de rester silencieux indéfiniment », a-t-il déclaré. Malgré la crise et l'installation d'un parlement « qualifié de monocolore » après 2019, il n'était pas question d'arrêter les réformes.
La guéguerre entre anciens présidents de la République ne devrait pas entraver le développement du Bénin. Patrice Talon lors d'une émission spéciale dans la soirée de ce mardi 04 novembre 2025 sur Bénin TV, a réitéré sa volonté de voir les fils et filles du Bénin s'unir pour construire leur pays quelle que soit leur opinion politique.
« La compétition politique ne doit pas se faire au détriment du pays. Malgré nos divergences, il ne faudrait pas que nous soyons ennemis au point de compromettre l'intérêt général », c'est en ces termes que le chef de l'Etat Patrice Talon a conclu l'entretien spécial sur la Télévision nationale ce mardi 04 novembre 2025. Pour lui, les fils et filles du Bénin, quelle que soit leur opinion, doivent se mettre ensemble pour construire leur pays. Il a déploré au cours de l'entretien, la guéguerre entre anciens présidents de la République, notamment l'opposition radicale de son prédécesseur, Boni Yayi à son régime, et sa volonté à faire échec à toutes les initiatives.
Regrettant ce fait, Patrice Talon a suggéré le vote d'une loi qui interdit la politique aux anciens présidents de la République. « Moi je demanderai bien au parlement de voter une loi constitutionnelle pour interdire à Talon, à Yayi Boni […] de faire la politique », a signifié le chef de l'Etat. « Qu'on aille passer nos vacances au village. Ça devient impératif pour le Bénin. Et je vous le promets. Si les Béninois apprennent à nous oublier demain, les choses changeront très vite dans le pays, plus vite qu'on ne le pense », a-t-il ajouté. Le président de la République a évoqué à titre illustratif, la limite d'âge fixée lors de la Conférence nationale de 1990 pour écarter les anciens présidents Zinsou, Maga, et Ahomadégbé qui, du fait de la guerre de leadership entre eux, « ont pourri la vie aux Béninois ». « Les populations ont décidé de les mettre à l'écart, de les mettre au repos, de leur interdire d'être candidat. C'est ça aussi les lois des pays sont faites pour régler les problèmes qui se posent au pays », a laissé entendre le chef de l'Etat évoquant l'initiative d'une loi interdisant la politique aux anciens présidents.
F. A. A.
Dans un entretien à la télévision nationale, le président Patrice Talon a affirmé, mardi 4 novembre 2025, que les Démocrates « avaient la possibilité » de se conformer au Code électoral sans renier leur identité.
Le président Patrice Talon estime que l'absence du parti Les Démocrates à la présidentielle de 2026 « n'était pas une fatalité » mais le résultat d'un refus stratégique assumé par ses dirigeants. « Il leur suffisait de signer une déclaration d'intention de collaboration post-électorale avec un parti ou groupe parlementaire. C'est tout. Même une simple intention. Pas un partage de gouvernement », a-t-il indiqué dans un entretien diffusé ce 4 novembre 2025.
« Quand on interdit tout accord, même d'intention, même minimal, on finit par enfermer son propre parti », déplore le président Patrice Talon qui dit regretter la non-participation du parti Les Démocrates à l'élection présidentielle de 2026.
Selon le président de la République, ce refus d'accord, même minimal, est le « choix politique du président Yayi Boni » et non une conséquence du texte juridique. « Ils ont choisi de marcher sur le fil du rasoir. Ils ont assumé la ligne dure. Mais ce n'est pas à Talon de porter la responsabilité de leur absence ».
Pour le chef de l'Etat, la présidentielle 2026 devait justement permettre de sortir de la logique « guerre éternelle Talon- Yayi » et entrer dans une ère de coopération politique nationale.
M. M.
Le chef de l'État Patrice Talon a déploré l'absence du parti ‘'Les Démocrates'' dans la course à l'élection présidentielle de 2026. C'est au cours d'un entretien diffusé ce mardi 4 novembre 2025, sur la télévision nationale.
Patrice Talon s'est exprimé sur la situation du parti ‘'Les Démocrates (LD), exclu de la course à l'élection présidentielle de 2026. « Je suis malheureux que ‘'Les Démocrates'' n'aillent pas à l'élection présidentielle. Ils avaient la possibilité de le faire », a déclaré Patrice Talon.
Selon lui, le parti dirigé par l'ancien président Yayi Boni aurait pu éviter cette exclusion en concluant un accord de gouvernance avec d'autres formations politiques notamment la Force cauris pour un Bénin Émergent. « J'ai demandé à l'UP le Renouveau et au Bloc Républicain de rester disposé à signer avec ‘'Les Démocrates'' un accord de gouvernance », a indiqué le Chef de l'Etat.
À l'en croire, le président Boni Yayi a refusé que son parti ‘'Les Démocrates'' signe un quelconque accord avec qui que ce soit y compris le parti de l'opposition FCBE. « Si ‘'Les Démocrates'' avaient signé avec la FCBE, un accord de gouvernance, le duo candidat à l'élection présidentielle des Démocrates ne serait pas tombé malgré la défection d'un de leurs », a soutenu Patrice Talon.
Selon le président, le code électoral prévoit des dispositions incitant les partis à collaborer pour une meilleure gouvernance. « Pour les législatives, les 20 % qui sont exigés par circonscription électorale, on vous permet de les sauver ensemble. Même si vous n'avez que 10 % dans une circonscription, dès lors que vous dites, je suis prêt à travailler, à discuter au Parlement avec un autre groupe qui a 12 % et bien vous bénéficiez de ces 12 % », a-t-il expliqué. Ce bonus facilite l'obtention du seuil requis de 20 % par circonscription.
Pour Patrice Talon, l'absence de ces derniers à la présidentielle est un choix stratégique qui s'est retourné contre eux. « Quand on choisit de marcher sur un fil, et qu'on tombe, il ne faut pas chercher le bouc émissaire », a-t-il conclu.
Le président de la République s'est exprimé ce mardi 4 novembre 2025 dans un entretien diffusé à la télévision nationale et sur les pages officielles du gouvernement. Patrice Talon est notamment revenu sur sa récente rencontre avec son prédécesseur, Boni Yayi, à propos du rejet du dossier du duo candidat des Démocrates à la présidentielle de 2026 pour faute de parrainage requis.
Selon le chef de l'Etat Patrice Talon, l'ancien président Yayi Boni lui aurait demandé d'intervenir pour réhabiliter le duo Agbodo-Lodjou recalé à la présidentielle de 2026. Mais la réponse du président a été ferme : « Je lui ai dit, je ne fais pas de miracle. C'est trop tard ».
Patrice Talon a expliqué avoir rappelé à son interlocuteur que les responsables du parti Les Démocrates « savaient ce qu'il fallait faire » pour obtenir les parrainages, mais qu'ils n'avaient pas voulu d'accord avec les autres formations politiques. « Pourquoi n'avez-vous pas voulu faire l'accord avec la FCBE, ni avec BR, ni avec UP-R ? », a-t-il lancé.
L'ex chef de l'État Boni Yayi et président du parti d'opposition Les Démocrates aurait suggéré de reprendre tout le processus électoral. « Il souhaitait qu'on annule le processus. J'ai dit non. Ce n'est pas bien. Il ne faut pas que leurs erreurs amènent le pays à faire du n'importe quoi », a refusé catégoriquement Patrice Talon, selon ses déclarations, ce mardi sur la télévision nationale. Revenir sur la procédure en cours serait contraire aux principes démocratiques, a ajouté le chef de l'Etat.
Boni Yayi aurait demandé également l'intervention de son successeur pour libérer des jeunes incarérés pour des infractions. Une immixtion dans les procédures judiciaires que le président Patrice Talon a refusé.
L'ex président se serait porté garant de ce que les jeunes, une fois libérés, ne tomberaient pas dans les mêmes travers. Le président Talon dit avoir demandé à son prédecesseur s'il était le « commanditaire » des faits reprochés aux prévenus.
M. M.
Le président de la République du Bénin, Patrice Talon s'est prononcé sur les grands sujets de l'actualité ce mardi 4 novembre 2025. Écoutez en intégralité les propos du chef de l'Etat dans l'interview qu'il a accordée à la télévision nationale au micro de Serge Ayaka.
Le parti ‘'Les Démocrates (LD)'' dispose d'un délai de 72 heures pour corriger les quelques observations formulées par la Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) sur son dossier dans le cadre des élections communales de 2026.
Le parti ‘'Les Démocrates'' a obtenu ce mardi au siège de la Commission Électorale Nationale Autonome son récépissé provisoire à la suite du dépôt des dossiers pour les prochaines élections communales. À cette occasion, le Vice-président du parti, Éric Houndété, a exprimé sa satisfaction à l'endroit du personnel de la CENA pour son accompagnement tout au long du processus. Il a également salué le travail des militants et de l'équipe technique du parti, mobilisés pour la constitution des dossiers.
« Nous avons travaillé avec beaucoup de soin pour présenter un dossier sans faute. Il y a toutefois quelques observations, que nous allons lever dans le délai légal de72 heures », a déclaré Éric Houndété. Le Vice-président du parti a réaffirmé son souhait de voir l'administration faire preuve de collaboration afin de garantir une élection inclusive à laquelle prendront part toutes les forces politiques du pays.
Le président de la République du Bénin, Patrice Talon se prononce sur l'actualité nationale ce mardi 4 novembre 2025.
Sortie médiatique du Chef de l'Etat ce mardi. Patrice Talon va se prononcer sur l'actualité nationale, dans un contexte marqué par plusieurs sujets d'intérêt majeur, notamment le processus électoral en cours, le débat sur la révision constitutionnelle et les récentes décisions gouvernementales.
L'entretien sera diffusé sur la chaîne de télévision nationale après le journal du soir.
A.A.A
Une autre fête footballistique attend les passionnés de ballon rond : la Ligue des champions proposera plusieurs matchs passionnants. Leur présentation a été spécialement préparée pour vous par le meilleur site de paris sportifs international, 1xBet.
L'essentiel à retenir : les paris sont avant tout un divertissement, pas un moyen de gagner de l'argent.
Liverpool – Real Madrid, 4 novembre
Après un début de saison prometteur, Liverpool a traversé des turbulences, enchaînant les défaites. Mais la victoire écrasante (5-1) contre l'Eintracht lors de la précédente journée de Ligue des champions a prouvé qu'il était trop tôt pour enterrer l'équipe d'Arne Slot. De plus, Liverpool s'est facilement défait du Real à domicile lors de l'édition précédente de la compétition et cette saison, du deuxième géant madrilène, l'Atlético.
C'est pourquoi les champions d'Angleterre sont les favoris de ce match à Anfield. Qui peut dérailler Liverpool ? Les locaux vont prendre d'assaut le but adverse, et le Real Madrid, avec ses incroyables Kylian Mbappé et Vinicius, est redoutable en contre-attaque. Le FC Barcelone, qui s'est incliné face au Real Madrid lors du premier Clasico de la saison, l'a déjà ressenti.
Cotes : V1 – 2.338, X – 4.02, V2 – 2.95.
Paris Saint-Germain – Bayern Munich, 4 novembre
Cette affiche mettra aux prises les leaders du championnat, invaincus jusqu'à présent. Le Bayern poursuit son carton plein cette saison, tandis que les Parisiens, malgré trois débâcles en championnat, mènent néanmoins le bal. Les tenants actuels du titre de la Ligue des champions ont livré leur meilleure performance justement en C1 où ils ont dominé le FC Barcelone à l'extérieur et planté 11 pions face à l'Atalanta et au Bayer Leverkusen.
Au vu des cotes, Munich est donné perdant. Mais les champions de Bundesliga comptent dans leurs rangs Harry Kane, auteur de 20 réalisations toutes compétitions confondues cette saison. Misez donc avec prudence si vous pariez contre eux.
Cotes : V1 – 2.265, X – 4.18, V2 – 2.95.
Manchester City – Borussia Dortmund, 5 novembre
Les "Citizens" sont les grands favoris de cette rencontre à domicile. Cependant, les hôtes dépendent fortement d'Erling Haaland : si le Norvégien ne trouve pas le chemin des filets, le collectif risque de rencontrer des difficultés. Le Borussia parviendra-t-il à contenir son ancienne star ? C'est là tout l'enjeu de cette bagarre.
Il sera néanmoins difficile pour City de contenir Guirassy, Adeyemi et d'autres attaquants de la formation de Niko Kovač. Lors de chacune des trois premières journées, le Borussia a inscrit 4 buts, mais a été finalement accroché par la Juventus grâce à une volonté de fer et une veine incroyable de cette dernière.
Cotes : V1 – 1.44, X – 5.15, V2 – 7.85
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Par décision en date du 4 novembre 2025, le président de la CENA a publié la liste des partis politiques déclarés pour les élections communales du 11 janvier 2026.
Sous réserve de la vérification de la conformité de leurs dossiers, sont publiés les partis politiques ayant déposé leurs dossiers de candidatura à l'élection des membres des conseils commununaux. Les partis politiques concernés sont :
Force Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE)
Union Progressiste le Renouveau (UP-R)
Mouvement des Élites Engagées pour l'Émancipation du Bénin (Moele-Bénin)
Les Démocrates (LD)
Bloc Républicain (BR)
Les partis Forces Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE), le Mouvement des Élites Engagées pour l'Émancipation du Bénin (Moele-Bénin) et ‘'Les Démocrates'' ont obtenu, ce mardi 4 novembre 2025, leur récépissé provisoire dans le cadre des élections communales de 2026.
La Commission Électorale Nationale Autonome (CENA) poursuit la délivrance des récépissés provisoires aux partis politiques engagés dans la course aux élections communales de 2026. Les dernières formations ont officiellement franchi cette étape déterminante conformément aux dispositions légales en vigueur. Il s'agit du parti Forces Cauris pour un Bénin Émergent (FCBE) représenté par Abdoulazize Yarou ; le Mouvement des Élites Engagées pour l'Émancipation du Bénin (Moele-Bénin), représenté par son président Jacques Ayadji.
Le parti ‘'Les Démocrates (LD)'' a bouclé la série d'obtention des récépissés provisoires. L'Union Progressiste le Renouveau et le Bloc Rpublicain ont reçu leur récipissé provisoire lundi 3 novembre.
La Cour constitutionnelle a lancé ce mardi 4 novembre 2025, les visites médicales pour les candidats à l'élection présidentielle de 2026.
Les candidats à l'élection présidentielle de 2026 ont débuté leur visite médicale. Romuald Wadagni et le duo Paul Hounkpè-Judicaël Hounwanou ont répondu présents à la Cour constitutionnelle. Mariam Chabi Talata n'a pu se rendre à l'institution dans la matinée de ce mardi. Les candidats ont été présentés aux médecins assermentés.
Pour cette occasion, la Cour a temporairement transformé ses locaux en centre médical, avec des bureaux dédiés à la psychiatrie, à la cardiologie et à la médecine interne. Les examens sont assurés par les Pr Angèle Azon Kouanou (médecine interne), Pr Léopold Houétondji Codjo (cardiologie) et Pr Francis Tognon Tchegnonsi (psychiatrie).
Des analyses complémentaires seront également faites au Centre national hospitalier et universitaire de Cotonou. Le collège médical est appelé à établir son rapport avant la publication de la liste définitive des duos candidats à la présidentielle de 2026.
A.A.A
Le ministre de la Santé, Benjamin Hounkpatin rassure sur la recrudescence des cas d'infections respiratoires constatée dans certaines localités du Bénin. C'est à travers un communiqué en date du lundi 3 novembre 2025.
Pas de résurgence de la Covid-19 au Bénin selon le ministre de la Santé. Ces dernières semaines, certaines localités du Bénin ont enregistré une augmentation des cas d'infections respiratoires, suscitant inquiétude et interrogations parmi la population. Face à cette situation, le ministère de la Santé a réalisé des tests de diagnostic rapide pour la COVID-19 ainsi que pour la grippe saisonnière (Influenza A et B) dans tous les départements.
« Les analyses réalisées sous la coordination du laboratoire national de la santé publique n'ont révélé aucun cas positif à la COVID-19 à ce jour. Les résultats disponibles indiquent plutôt la circulation de virus grippaux saisonniers, responsables de l'augmentation des cas de grippe actuellement observée », informe Benjamin Hounkpatin. Il n'y a donc pas de résurgence de la COVID-19 au Bénin, contrairement aux fausses informations qui circulent sur les réseaux sociaux.
Le ministère de la Santé explique que cette situation correspond à la propagation habituelle des virus grippaux saisonniers, généralement observée entre septembre et décembre, période marquée par les pluies abondantes, l'humidité variable, harmattan etc combinés à une mobilité accrue des populations.
Pour prévenir la propagation de ces infections, le ministère de la Santé invite la population à observer rigoureusement les mesures d'hygiène et de prévention (lavage régulier des mains à l'eau et au savon, port du masque en cas de toux ou d'éternuement, aération des pièces et lieux de travail) ; éviter l'automédication et se rendre rapidement au centre de santé en cas de fièvre, toux, rhume ou difficultés respiratoires. Il invite aussi la population à suivre exclusivement les informations officielles émises par le ministère de la Santé.
Benjamin Hounkpatin rassure que le dispositif de surveillance épidémiologique reste pleinement opérationnel et que des dispositions sont prises pour assurer une riposte rapide et appropriée à toute situation sanitaire.
A.A.A
Par décret N° 2025-652 du 22 octobre 2025, le président Patrice Talon a procédé à la nomination des membres du Conseil d'Administration (CA) du Centre national de Sécurité routière (CNSR).
Cinq (05) membres sont nommés au Conseil d'Administration du Centre national de Sécurité routière (CNSR). Ils ont un mandat de trois ans renouvelable. Le CA CNSR est présidé par Roch Célestin HOUNDJE.
Par décret N° 2025-652 du 22 octobre 2025, le président Patrice Talon a procédé à la nomination des membres du Conseil d'Administration (CA) du Centre national de Sécurité routière (CNSR).
Cinq (05) membres sont nommés au Conseil d'Administration du Centre national de Sécurité routière (CNSR). Ils ont un mandat de trois ans renouvelable. Le CA CNSR est présidé par Roch Célestin HOUNDJE.
La Cour constitutionnelle du Bénin reçoit, ce mardi 4 novembre 2025, les deux duos en lice pour la prochaine élection présidentielle prévue le 12 avril 2026.
Le processus préparatoire à l'élection présidentielle de 2026 se poursuit au Bénin. Le duo Romuald Wadagni – Mariam Chabi Talata, représentant la mouvance présidentielle, et le duo Paul Hounkpè – Judicaël Hounwanou, candidat de l'opposition sont attendus à la Cour constitutionnelle. Il est prévu une séance tripartite réunissant la Cour constitutionnelle, les deux duos et les médecins chargés de la visite médicale des candidats. Cette réunion permettra de fixer le calendrier de cette étape obligatoire avant la validation définitive des candidatures.
Trois médecins ont été désignés pour faire les examens médicaux : Pr Francis Tognon Tchegnonsi, psychiatre ; Pr Léopold Houétondji Codjo, cardiologue ; et Pr Angèle Azon Kouanou, spécialiste en médecine interne. Tous trois ont prêté serment devant la Cour constitutionnelle.
La publication de la liste définitive des duos candidats à la présidentielle interviendra après la réalisation de ces examens médicaux et la transmission des résultats à la Commission électorale nationale autonome (CENA).
A.A.A