Le Conseil des ministres s'est réuni ce mercredi 03 décembre 2025, sous la présidence du Chef de l'Etat, Patrice Talon. Plusieurs grandes décisions ont été prises au cours de cette séance hebdomadaire.
La Société Béninoise d'Energie Electrique (SBEE) informe les abonnés au réseau électrique du démarrage d'une opération spéciale de recouvrement des créances sur consommation d'énergie.
Les abonnés au réseau électrique qui détiennent au moins une (01) facture de « consommation échue non payée » sont invités à « s'acquitter de leurs dus ». Une opération spéciale de recouvrement des créances sur consommation est en cours et se poursuit jusqu'au 31 décembre 2025, informe la Société Béninoise d'Energie Electrique (SBEE).
La direction de la SBEE se dit disponible pour répondre aux préoccupations des abonnés. Le numéro vert 7302 et le contact whatsapp 0168525253 sont accessibles 24h/24, selon le communiqué.
Une vaste opération policière menée dans la soirée du 22 novembre 2025 au quartier Sinangourou, près du marché Azerkè, a permis de saisir plus de 3 tonnes de faux médicaments et du Tramadol. Un individu a été arrêté.
Les policiers du premier arrondissement de Parakou ont interpellé un individu présenté comme l'un des principaux grossistes de faux médicaments dans la ville. Selon les enquêteurs, il alimentait une grande partie du marché de Parakou en produits pharmaceutiques falsifiés et en psychotropes, notamment du tramadol.
La descente, effectué dans la soirée du 22 novembre 2025, a permis la saisie de plus de 3 tonnes de marchandises et du tramadol. C'est l'une des plus grosses prises réalisées dans la ville ces dernières années, a rapporté une source policière citée par Fraternitefm. L'opération intervient dans un contexte de lutte accrue contre le trafic de médicaments falsifiés, un commerce clandestin très lucratif et difficile à endiguer.
La Police poursuit l'enquête pour identifier d'éventuels complices et remonter la chaîne d'approvisionnement.
M. M.
La deuxième édition du Salon national des OSC de Jeunes et de Femmes s'est ouverte, mardi 02 décembre 2025, au siège de l'Institut National de la Femme (INF) à Cotonou. Trois jours d'échanges durant lesquels les résolutions 1325 et 2250 des Nations Unies seront revisitées pour poser les bases d'une paix inclusive au Bénin.
La Directrice adjointe de cabinet du ministre des Affaires sociales et de la Microfinance a procédé, mardi dernier, au lancement de l'édition 2025 du Salon national des OSC de Jeunes et de Femmes. Les travaux se déroulent sous le thème central : « De la résolution 1325 à la 2250 : pour une paix inclusive portée par les femmes et les jeunes ». Un Salon marqué par un double anniversaire : 25 ans de la résolution 1325 et 10 ans de la résolution 2250.
Dès l'ouverture, la Directrice exécutive du ROAJELF, Mariette Montcho, a salué « la continuité du Salon » et rendu hommage aux partenaires. « La paix se construit avec les femmes et avec les jeunes », a-t-elle rappelé, appelant à un plan national 1325 de deuxième génération et à l'adoption urgente d'un agenda national 2250. « C'est un impératif moral », a-t-elle insisté.
Le Représentant résident du PNUD, Titus Osundina, a souligné le rôle décisif de la société civile. « La paix durable exige la participation pleine, égale et significative des femmes », a-t-il dit. Il a salué l'engagement des OSC, « moteurs de sensibilisation, de cohésion et de mobilisation ». Le salon, selon lui, est un espace essentiel pour identifier des solutions pratiques, jusque dans les villages et les communes. Il n'a pas manqué de réitérer l'engagement du PNUD à accompagner le Bénin dans la mise en œuvre de ses engagements nationaux et internationaux.
La Présidente de l'Institut National de la Femme, Huguette Bokpè Gnacadja, a évoqué « un rendez-vous de vérité ». Elle a rappelé les avancées enregistrées au Bénin, mais aussi l'ampleur des défis : violences basées sur le genre, zones vulnérables fragilisées, manque de financements pour les initiatives de jeunes et femmes. « Sans les femmes, sans les jeunes, on ne bâtit pas un Bénin en paix », a-t-elle affirmé.
Au nom de la ministre des Affaires sociales, Agnès Badou a insisté sur la nécessité de transformer les normes internationales en politiques concrètes. « Ce salon est un laboratoire d'idées, un tournant. La paix au Bénin se construira avec les femmes et les jeunes, pour les générations futures », a-t-elle déclaré.
Un programme riche sur trois jours
La journée d'ouverture a été marquée par une conférence inaugurale du MASM sur le rôle des femmes et des jeunes 25 ans après 1325 et 10 ans après 2250. Le marché de la paix a également été lancé, suivi d'une visite de stands.
Deux premiers panels ont ouverts les discussions. Le premier est consacré aux défis du Plan d'action national 1325 et aux perspectives d'un plan de deuxième génération. Le second revient sur dix ans d'engagement des jeunes à travers la résolution 2250, avec un focus sur les acquis et les zones encore fragiles.
Les travaux se poursuivent ce mercredi avec une série de panels centrés sur les réalités sécuritaires actuelles. Un échange aborde les violences, les formes de résilience et les solutions locales qui émergent dans les communautés. Un autre instaure un dialogue direct entre jeunes, forces de l'ordre et systèmes communautaires d'alerte, afin de renforcer la confiance. Les participantes et participants discutent également du rôle des femmes et des jeunes dans la gouvernance sécuritaire locale, avant d'analyser la responsabilité des médias dans la déconstruction des discours haineux et la promotion de récits de paix.
Au programme jeudi, un espace mémoire et un marché de la paix. Une fresque de paix et un Mur du sacrifice rendront hommage aux soldats tombés au front.
La clôture verra la présentation des recommandations, avec trois documents attendus : le Manifeste des Jeunes Femmes pour la Paix, la Déclaration de Cotonou pour la Paix Inclusive, la Charte de la Sécurité Inclusive.
Un prix aux championnes de la paix fera office de cérémonie de reconnaissance.
M. M.
QUELQUES IMAGES À L'OUVERTURE DU SALON DES OSC DE JEUNES ET DE FEMMES
L'adoption de la résolution historique 2797 du Conseil de sécurité de l'ONU sur le Sahara marocain continue de susciter des réactions positives au niveau de la diplomatie africaine. Ce mardi 2 décembre 2025, les ministres des Affaires étrangères du Burkina Faso et du Niger ont réaffirmé les positions de leurs pays concernant le plan d'autonomie proposé par le Royaume comme base sérieuse, crédible et durable pour parvenir à une solution à la question du Sahara marocain.
La République du Burkina Faso a réitéré, mardi dernier, son soutien ferme et constant à l'intégrité territoriale du Royaume du Maroc, tout en saluant l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU de la résolution historique 2797 qui consacre, dans le cadre de la souveraineté marocaine, le plan d'autonomie proposé par le Royaume comme base sérieuse, crédible et durable pour parvenir à une solution à la question du Sahara marocain.
Cette position a été exprimée par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération régionale et des Burkinabè de l'extérieur, Karamoko Jean Marie Traore, lors de son entretien avec le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération africaine et des Marocains résidant à l'étranger, Nasser Bourita, en marge de leur participation à la Conférence sur les victimes du terrorisme en Afrique, qui se tient les 02 et 03 décembre à Rabat.
M. Traore a réaffirmé l'appui de son pays à l'initiative d'Autonomie présentée par le Royaume du Maroc, qui constitue la seule solution crédible et réaliste pour la résolution de ce différend.
Le chef de la diplomatie burkinabé s'est aussi félicité de l'ouverture par le Burkina Faso d'un Consulat général à Dakhla, le 23 octobre 2020.
Le ministre des Affaires étrangères du Maroc, M. Bourita, a exprimé sa reconnaissance au Burkina Faso pour cette position constante et indéfectible.
En dehors du Burkina, le Niger aussi a salué, ce même mardi, l'adoption par le Conseil de sécurité de l'ONU de cette résolution historique sur la question du Sahara marocain.
La position de ce pays a été exprimée par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Nigériens de l'extérieur, Bakary Yaou Sangaré, à la suite de ses entretiens avec le chef de la diplomatie marocaine, Nasser Bourita, en marge de la Conférence sur les victimes du terrorisme en Afrique.
Les positions exprimées par ces deux pays s'inscrivent dans la dynamique diplomatique impulsée par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, depuis des années, en faveur de la marocanité du Sahara et en appui à l'Initiative d'autonomie avec le consensus de la communauté internationale pour mettre fin à ce différend régional, dans le cadre de la souveraineté nationale et de l'intégrité territoriale du Royaume.
La Première Conférence sur les victimes africaines du terrorisme, a été organisée du 2 au 3 décembre 2025, à Rabat (Maroc), en collaboration avec le Bureau des Nations unies de lutte contre le terrorisme (UNOCT). Elle a réuni le chef du bureau, vice secrétaire général des Nations-Unies Aleksandre Zouev, des ministres et experts de la région du Sahel ainsi que des délégations de haut niveau venant de différentes régions d'Afrique. A l'issue des travaux, les participants ont adopté la Déclaration de Rabat, soulignant le rôle central des victimes, le renforcement du soutien et la coopération entre les pays africains.
CONFÉRENCE SUR LES VICTIMES AFRICAINES DU TERRORISME AUX CÔTÉS DES VICTIMES DU TERRORISME EN A FRIQUE VERS LA JUSTICE LE RÉTABLISSEMENT LA RÉSILIENCE
DECLARATION DE RABAT
sur le soutien aux victimes africaines du terrorisme “Aux côtés des victimes du terrorisme en Afrique : Vers la Justice, le Rétablissement et la Résilience”
Rabat, Royaume du Maroc – 2-3 décembre 2025
• Nous, Etats Membres participants, organisations régionales et internationales, représentants du Système des Nations Unies, de la société civile et experts, réunis à Rabat, Royaume du Maroc, à l'occasion de la Conférence sur les victimes africaines du terrorisme ;
• Condamnant tous les actes de terrorisme, sous toutes leurs formes et manifestations, en tant qu'actes criminels et injustifiables, et réaffirmant que les mesures de lutte contre le terrorisme doivent pleinement respecter le droit international, y compris le droit international des droits de l'homme et le droit international humanitaire ;
• Rappelant la Stratégie antiterroriste mondiale des Nations Unies (A/RES/60/288) et ses réexamens successifs, en particulier le Huitième examen (A/RES/77/298, 2023), qui soulignent l'importance de préserver les droits et la dignité des victimes du terrorisme et de garantir leur participation effective aux efforts de lutte contre le terrorisme ;
• Réaffirmant les résolutions A/RES/73/305 et A/RES/72/165 de l'Assemblée Générale des Nations Unies, ainsi que les résolutions connexes appelant à la justice, à la reconnaissance, à l'assistance et à la réparation en faveur des victimes du terrorisme, et mettant en avant la nécessité de renforcer la coopération internationale ;
• Prenant en considération les dispositions pertinentes relatives aux victimes du terrorisme figurant dans les résolutions 2178 (2014) et 2396 (2017) du Conseil de sécurité, qui exhortent les États Membres à adopter des mesures garantissant la protection, l'assistance et la participation des victimes, y compris dans les procédures judiciaires ;
• Reconnaissant que l'Afrique représente aujourd'hui plus de la moitié des décès liés au terrorisme dans le monde et que la situation des victimes à travers le continent, femmes, hommes, enfants, personnes déplacées et communautés locales, demeure souvent marquée par des besoins variés en matière de reconnaissance, de soutien et d'accompagnement, ce qui met en évidence l'importance de renforcer les efforts collectifs en leur faveur ;
• Notant avec appréciation le rôle du Bureau des Nations Unies de la lutte contre le terrorisme (UNOCT) et de son Programme mondial d'appui aux victimes du terrorisme dans la promotion des droits et de la dignité des victimes, ainsi que dans le renforcement de la coopération internationale en leur soutien ;
• Nous déclarons par la présente notre engagement à :
• Reconnaître et défendre les droits inhérents de toutes les victimes du terrorisme à la vérité, à la justice, à la reconnaissance, à la mémoire et à la réparation, et à assurer qu'elles soient traitées avec dignité et respect à toutes les étapes de la réponse et du relèvement ;
• Encourager les Etats Membres à renforcer leurs cadres juridiques nationaux et leurs systèmes de soutien, conformément aux meilleures pratiques internationales reconnues, telles que les Dispositions législatives types des Nations Unies pour les victimes du terrorisme, tout en respectant les spécificités nationales, les références juridiques et les systèmes constitutionnels ;
• Appeler à ce que les auteurs d'actes terroristes répondent de leurs actes, notamment par le renforcement de la coopération judiciaire internationale et de l'entraide juridique ;
• Soutenir le développement de mécanismes globaux offrant un appui psychologique, médical, social et économique aux victimes et à leurs familles, et répondant à leurs besoins identifiés par une approche multisectorielle centrée sur la victime ;
• Accorder une attention prioritaire à la protection et à l'assistance des femmes, des enfants, des veuves, des orphelins, des personnes enlevées et des ex-enfants soldats, selon des pratiques tenant compte des traumatismes et des approches sensibles au genre ;
• Renforcer le rôle des victimes et des survivants dans la prévention de la radicalisation et la lutte contre les idéologies extrémistes, et promouvoir leur participation significative à l'élaboration et à la mise en œuvre des politiques et stratégies de lutte contre le terrorisme, tout en veillant à les protéger de toute re-victimisation ou exploitation ;
• Encourager les initiatives dans les domaines de l'éducation, de la résilience communautaire, de l'autonomisation des jeunes et de la cohésion sociale locale ;
• Renforcer la coopération entre les Etats Membres africains et les entités des Nations Unies, notamment à travers l'échange de données, la formation et la mise en place de cadres de coopération adaptés ;
• Inviter les partenaires internationaux et les bailleurs de fonds à soutenir les initiatives africaines visant à assister les victimes du terrorisme ;
• Adopter la présente Déclaration de Rabat sur le soutien aux victimes africaines du terrorisme comme engagement collectif en faveur de la justice, de la solidarité et de la résilience ;
• Encourager la mise en place d'initiatives commémoratives, de registres nationaux des victimes du terrorisme ainsi que d'une plateforme numérique africaine destinée à documenter la résilience des victimes, à l'image du Compendium des expériences et des bonnes pratiques, lancé à l'occasion de cette Conférence ;
• Exprimer notre profonde appréciation au Royaume du Maroc pour l'accueil de cette Conférence et à l'ensemble des partenaires ayant contribué à son succès.
Le tribunal d'Abomey-Calavi a condamné, ce mardi 02 décembre 2025, une mère de famille à une peine de 12 ans de prison dont 02 fermes. La mise en cause est poursuivie pour coups et blessures volontaires sur sa domestique.
Une mère de famille dans les liens de la prévention pour avoir battu sa domestique. La prévenue selon les déclarations à la barre, a infligé des sévices corporels à une jeune fille qu'elle a employée pour l'assister dans ses tâches. Poursuivie pour coups et blessures volontaires, elle a été jugée ce mardi 02 décembre 2025.
A la barre, elle a nié les faits mis à sa charge.
Le ministère public, se fondant sur les éléments du dossier requiert contre elle, une peine de 12 mois de prison dont 03 fermes.
La défense plaide pour une relaxe de sa cliente. L'accusée selon le conseil, est une chrétienne fervente victime d'accusations mensongères.
Le juge, en délibérant, condamne la prévenue à une peine de 12 mois de prison dont 02 fermes. En détention depuis environ 02 mois, elle a recouvré sa liberté au terme du procès de ce mardi.
F. A. A.
Un grave accident a endeuillé la ville de Parakou cet après-midi du mardi 02 décembre 2025.
Un camion chargé de coton, en provenance de Komiguéa dans la commune de N'Dali, a dérapé avant de percuter une boutique de pièces détachées.
L'accident s'est produit, mardi 02 décembre 2025 ; au carrefour Deema Radio, à l'entrée nord de la ville de Parakou.
Le bilan fait état de deux enfants fauchés. Une fille et un garçon qui rentraient de l'école. Plusieurs blessés ont été recensés.
Les dégâts matériels sont importants. Selon Fraternitefm, plusieurs motos ont été broyées et pan de mur s'est effondré.
Les causes du drame restent à déterminer. Fatigue, somnolence, panne mécanique ? Aucun témoignage n'évoque pour l'instant une vitesse excessive.
La police s'est rendue sur les lieux pour le constat.
M. M.
Le Directeur des Relations Publiques et de la Communication de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC) n'est plus !
Bruno Adjahounzo est décédé ce mardi 02 décembre 2025. L'illustre défunt était Directeur des Relations Publiques et de la Communication de la Haute Autorité de l'Audiovisuel et de la Communication (HAAC).
Bruno Adjahounzo a été chef-antenne Abomey de l'institution de régulation des médias.
Paix à son âme !
Le tribunal de première instance d'Abomey-Calavi a jugé, ce mardi 02 décembre 2025, une femme, de la quarantaine, pour abus de confiance dans une affaire de location de véhicules portant sur des millions de francs CFA.
Un dossier d'abus de confiance examiné à l'audience correctionnelle de flagrant délit du tribunal de première instance d'Abomey-Calavi ce mardi 02 décembre 2025. La prévenue, est une femme spécialisée dans la location de véhicules.
Selon les déclarations à la barre, l'accusée a reçu plusieurs véhicules qu'elle devrait louer à ses clients, et verser une partie des recettes aux propriétaires desdits véhicules. Mais contrairement aux accords, elle loue les véhicules, garde par devers elle toutes mes recettes et finit par les vendre.
Les propriétaires de véhicules s'en sont rendus compte et ont saisi la justice. Elle a été interpellée et placée sous mandat de dépôt. A la barre, elle n'a pas nié les faits.
Quatre victimes présentes au procès ce mardi ont réclamé respectivement les sommes de 3 350 000 francs CFA, 800 000 FCFA, 2 935 000 FCFA, et 1 500 000 FCFA.
D'autres victimes absentes au procès ont déclaré selon le président de céans, les sommes de 2 millions FCFA, 114 000 FCFA, et 425 000 FCFA.
Dans ses réquisitions, le ministère public, demande au tribunal de reconnaitre la prévenue coupable des faits d'abus de confiance et vente d'objets appartenant à autrui. Elle a requis à son encontre, une peine de 60 mois de prison dont 38 fermes, et une amende de 200 000 francs CFA. Elle devra également selon le magistrat, payer les dommages et intérêts aux victimes qui se sont constituées partie civile.
Le délibéré est renvoyé au 16 décembre 2025.
F. A. A.
Le principal parti d'opposition Les Démocrates (LD) a positionné dans les 24 Circonscriptions Electorales les candidats que voici aux législatives de 2026, selon les listes défintives validées par la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA). Eric Houndété, vice-président du parti et Basile Ahossi, vice-président de l'Assemblée nationale ne figurent pas sur la liste de candidatures présentée par les LD.
Les candidatures du parti Bloc Républicain (BR) validées par la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA) aux législatives de janvier 2026 se présentent comme suit dans les 24 Circonscriptions Electorales.
Voici la liste de candidatures du parti Union Progressiste le Renouveau (UP-R) aux élections législatives du 11 janvier 2026. Une liste défintive validée par la Commission Electorale Nationale Autonome (CENA).
Voici les candidatures du Mouvement des Elites Engagées pour l'Emancipation du Bénin (Moele-Bénin) aux législatives du 11 janvier 2026.
La liste de candidatures de Force Cauris pour un Bénin Emergent (FCBE) aux législatives de janvier 2026 se présente ainsi qui suit
Les voyageurs étrangers peuvent désormais remplir leur carte d'entrée avant d'arriver en Chine, selon une annonce des autorités.
Les voyageurs étrangers se rendant en Chine pourront saisir leurs informations personnelles et de voyage avant leur arrivée dans le pays, via plusieurs canaux numériques : le site web et la plateforme administrative de l'organisme, une application mobile dédiée, ainsi qu'un mini-programme disponible sur WeChat et Alipay. Un code QR, affiché sur la carte d'entrée, permettra également d'accéder directement au formulaire en ligne.
L'annonce a été faite par l'Administration nationale de l'immigration (ANI).
Pour les personnes ne disposant pas des moyens techniques nécessaires, la Chine assure qu'il sera toujours possible de compléter la déclaration à l'arrivée, en scannant un code QR au poste-frontière, en utilisant les équipements intelligents installés sur place ou, si besoin, en remplissant une carte d'entrée papier.
Les autorités précisent que sept catégories d'étrangers seront exemptées de cette démarche. Cela inclut les titulaires d'une carte de résident permanent étranger en Chine ; les détenteurs d'un permis de voyage pour la Chine continentale réservé aux résidents de Hong Kong et Macao (non ressortissants chinois) ; les voyageurs munis d'un visa de groupe ou bénéficiant d'une exemption de visa de groupe ; les passagers en transit direct de moins de 24 heures ; les visiteurs débarquant puis rembarquant sur un navire de croisière ; les usagers des voies rapides ; ainsi que les membres d'équipage étrangers à bord de moyens de transport franchissant les frontières chinoises.
Avec ce dispositif numérique, la Chine entend moderniser le passage aux frontières et réduire les délais de contrôle, dans un contexte de reprise progressive des mobilités internationales.
M. M.
La première édition du Cotonou Comedy Festival a débuté ce lundi 1er décembre 2025, avec des masterclass à l'Institut Français du Bénin, Cotonou.
Semaine d'humour au Bénin avec le démarrage effectif de Cotonou Comedy Festival. Les humoristes, aspirants comédiens et passionnés d'arts de la scène ont débuté ce lundi avec les masterclass. Ces séances permettent aux participants de partager leurs expériences, de renforcer leurs capacités et d'en savoir plus sur les techniques modernes de narration humoristique.
Il est prévu tout au long de la semaine des spectacles, et rencontres internationales. À travers Cotonou Comedy Festival, le gouvernement béninois veut positionner le Bénin comme un hub culturel panafricain. Cet événement permet également d'offrir une visibilité aux artistes qui se produiront à Cotonou.
La Direction des Eaux, Forêts et Chasse a rendu publique la liste des candidats admis, sous réserve de l'enquête de moralité, au concours de recrutement de 115 fonctionnaires au titre de 2024.
95 candidats ont été déclarés admis au concours de recrutement de 115 fonctionnaires des Eaux, Forêts et Chasse. Les candidats admis dans la catégorie des Conservateurs sont conviés, ce mercredi 3 décembre 2025 à 17 heures, au siège de la Direction générale, pour les formalités liées à leur admission au centre de formation militaire.
LISTE
Le Bénin poursuit sa transformation commerciale. Dix-huit marchés modernes ont été livrés entre juin 2024 et novembre 2025. L'Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM) parle d'un « déploiement inédit ».
Parti du marché Cadjèhoun, inauguré le 15 juin 2024 et du dernier ouvert le 29 novembre 2025, 18 marchés ont été ouverts en moins de 2 ans au Bénin. Ce qui revient à 17 249 espaces marchands créés en 17 mois. Du jamais-vu, selon l'Agence Nationale de Gestion des Marchés (ANaGeM).
Plus de 13 790 étalages (étals primaires) modernes ont été installés pour les commerçantes et commeçants. « L'objectif, c'est d'offrir des lieux de travail dignes et sûrs », affirme une source proche de l'ANaGeM.
Des marchés urbains en première ligne
13 marchés ont été construits dans les grandes villes. Ils regroupent 7 348 espaces marchands.
Parmi eux, Cadjèhoun, Mènontin, Ganhi ou encore Wologuèdè. Ces infrastructures changent le visage du Grand Nokoué et améliorent la circulation commerciale. Le marché Houndjro, inauguré fin novembre, vient renforcer cette dynamique.
5 marchés régionaux pour soutenir les territoires
L'État a aussi investi dans 5 grands marchés régionaux. Ces derniers totalisent 9.901 espaces marchands. Il s'agit des marchés Glazoué (28 août 2024), Azové (24 août 2024) ou Natitingou (22 décembre 2024) qui ont permis de dynamiser les filières locales, notamment l'agroalimentaire.
La modernisation ne concerne pas uniquement les bâtiments. Le Bénin compte désormais 328 poissonneries modernes, 452 boucheries, plus de 1 306 boutiques et près de 1.100 hangars et magasins. Ces aménagements renforcent l'hygiène, l'organisation et la sécurité dans les marchés. « Les vendeurs travaillent enfin dans de bonnes conditions », confie une commerçante de Ganhi. Beaucoup espèrent une hausse durable de leurs revenus.
La transformation continue
Les marchés de PK3 (Akpakpa, Cotonou) et Cococodji (Godomey, Abomey-Calavi) seront ouverts avant la fin décembre 2025. L'une des opérations les plus attendues reste le déménagement du marché Dantokpa, prévu du 5 au 15 janvier 2026. Le Pôle commercial Général Mathieu Kérékou (GMK), situé près du stade de l'Amitié de Cotonou, sera l'un des points stratégiques. Il regroupera quatre filières majeures : le textile, la maroquinerie, la cosmétique et la bijouterie.
Le marché de gros à Akassato dans la commune d'Abomey-Calavi est le second pôle commercial.
M. M.
A Allada dans le département de l'Atlantique, la Police républicaine a interpellé ce dimanche 30 novembre 2025, 4 individus suspectés d'appartenir à un réseau criminel impliqué dans divers trafics.
Sale temps pour les divorcés sociaux qui perturbent la quiétude des populations à Allada. 4 d'entre eux ont été arrêtés ce dimanche 30 novembre 2025.
Selon la Police, tout a commencé par la plainte d'une femme, commerçante nouvellement installée au quartier Dodomey. Elle aurait été contrainte de se plier aux exigences d'un individu présenté comme un criminel redoutable, afin d'assurer la sécurité de ses biens. Elle consentait notamment à lui offrir des dons et autorisait son fils à effectuer des courses pour son compte.
La situation selon une publication de la Police, a dégénéré lorsque cette commerçante a découvert que ce dernier envoyait l'enfant pour lui acheter du chanvre indien. Son refus catégorique a provoqué une escalade de menaces et des violences physiques à l'encontre du mineur.
Sur la base des informations en sa possession, la Police a ouvert une enquête qui a permis de localiser le principal mis en cause ainsi que son fournisseur de produits psychotropes. La perquisition effectuée a permis de découvrir 1,3 kg de chanvre indien ; 8 boulettes de chanvre indien ; une somme de 1,7 million de francs CFA en faux billets ; 53 cartes SIM de différents opérateurs ; un portefeuille supposé « magique » ; divers accessoires liés à la consommation et à la transformation de stupéfiants.
Recherché pour escroquerie électronique et plusieurs cambriolages dans le secteur, le mis en cause et les trois autres individus arrêtés sont placés en garde à vue et répondront de leurs actes devant les juridictions compétentes.
F. A. A.